#55 - Duo - JPK 10.10

Loeiz Cadiou

Loeiz-Cadiou

Hervé Delamarre

Herve-Delemarre

Loeiz Cadiou, est un bruxellois d’adoption de 43 ans qui goute régulièrement aux joies de la régate et de la navigation de façon très éclectique : sur son Open 500, en Class 40, voire sur un trimaran Ultime. Les courses en Manche et chez nos amis anglais sont courantes pour lui mais il aime aussi s’entraîner en Atlantique et a rejoint le groupe d’entraînement de La Rochelle, où, avec son co-skipper Hervé Delamarre, il enchaîne les régates. 

Hervé, 56 ans, a depuis longtemps la passion de la mer et de la compétition puisqu’après avoir fait ses armes en Optimist, il est passé sur des supports plus rapides et sportifs. 

A l’âge des études il a fallu choisir et Hervé a opté pour l’architecture, qu’il pratiquera pendant près de 30 ans, sans jamais arrêter de naviguer aux quatres coins du monde, avant d’opérer un virement de bord et devenir capitaine professionnel de plaisance. Le démon de la mer ne le quitte toujours pas et voici quelques années il rejoint la marine marchande et la recherche océanographique. Parcours pour le moins éclectique également !

Leurs métiers leur permettent de s’aligner au départ de la Cap-Martinique, qu’ils préparent assidûment depuis un bon moment.  


Loeiz-Cadiou
Herve-Delemarre

Loeiz Cadiou

Hervé Delamarre

Loeiz Cadiou, est un bruxellois d’adoption de 43 ans qui goute régulièrement aux joies de la régate et de la navigation de façon très éclectique : sur son Open 500, en Class 40, voire sur un trimaran Ultime. Les courses en Manche et chez nos amis anglais sont courantes pour lui mais il aime aussi s’entraîner en Atlantique et a rejoint le groupe d’entraînement de La Rochelle, où, avec son co-skipper Hervé Delamarre, il enchaîne les régates. 

Hervé, 56 ans, a depuis longtemps la passion de la mer et de la compétition puisqu’après avoir fait ses armes en Optimist, il est passé sur des supports plus rapides et sportifs. 

A l’âge des études il a fallu choisir et Hervé a opté pour l’architecture, qu’il pratiquera pendant près de 30 ans, sans jamais arrêter de naviguer aux quatres coins du monde, avant d’opérer un virement de bord et devenir capitaine professionnel de plaisance. Le démon de la mer ne le quitte toujours pas et voici quelques années il rejoint la marine marchande et la recherche océanographique. Parcours pour le moins éclectique également !

Leurs métiers leur permettent de s’aligner au départ de la Cap-Martinique, qu’ils préparent assidûment depuis un bon moment.