#67 - Duo - JPK 10.30
Bertrand Semaille
Tristan Debry
Bertrand Semaille et Tristan Debry, respectivement résidents en Ile de France et en Bretagne, régatent ensemble depuis 5 ans en Flying Fifteen d’abord avec des championnats du monde à la clé, puis en duo sur un JPK 10.30 notamment au Spi Ouest et au Trophée Audi St Malo (4 courses par saison).
Bertrand a aussi navigué en Melges 24 plusieurs saisons avec des championnats d’Europe et du Monde au compteur. Il n’hésite pas à traverser la France pour s’entraîner à la Rochelle et à Hyères… sans jamais louper les courses à St Malo.
Tristan, comme lui, est un fidèle de ce port, est aussi un “ancien” du 505, peut-être le “roi des dériveurs”. Passé à la “taille au dessus” il n’hésite pas à aller défier les anglais sur des Cowes Week ou d’autres courses du RORC.
Comme beaucoup de leurs camarades inscrits à la Cap Martinique 2024, nous les retrouverons sur la Rolex Fastnet Race de 2023. Mais c’est bien, en continuité de leurs régates communes, cette transat en course, aventure à la fois humaine et solidaire qui sera au programme 2024.
Bertrand Semaille et Tristan Debry soutiennent ASA Madagascar !
Une association malgache à but humanitaire. Reconnue d’utilité publique pour venir en aide aux familles sans abri ou très défavorisées d’Antananarivo à Madagascar en vue de leur réinsertion sociale.
Un projet qui marche :
- Ouvert : les bénéficiaires, volontaires, ne sont pas « ghettoïsés », mais parfaitement intégrés aux communautés voisines avec échanges permanents des savoir-faire, et accessibilité pour les paysans alentour aux installations ASA : écoles, dispensaires, église, silos, pépinière…
- Malgache, donc adapté à la culture et aux moyens du pays. Le gouvernement malgache appuie ce projet. L’Etat voit la possibilité de réinsérer des populations urbaines ou rurales totalement marginalisées, et de contribuer ainsi à l’effort de développement national. C’est ainsi que l’ASA a reçu de l’Etat 15.000 ha de terres dans le Moyen-Ouest pour y installer ses villages. L’ASA a reçu en 2010 du gouvernement malgache la reconnaissance d’Utilité Publique.
- Exigeant : demandant dès le départ de gros efforts aux familles, des contraintes d’engagement loin d’un simple assistanat.
Il s’adresse à des familles et non à des individus isolés. Il y a donc une dynamique basée sur l’avenir des enfants. C’est ce que valorise la pédagogie vigilante et constante des encadreurs. Ceux-ci s’emploient à préparer cette nouvelle vie de paysans ou artisans autonomes, autant dans les esprits que dans les corps et les apprentissages.
- Souple dans son application, avec une adaptation très pragmatique aux problèmes. Il le faut dans ce pays où tout peut arriver : cyclones, sauterelles, feux de brousse, vols de zébus…
- Il s’appuie sur tout un réseau de soutien, en France, par l’intermédiaire de 15 associations réparties sur le territoire.
Bertrand Semaille
Tristan Debry
Bertrand Semaille et Tristan Debry, respectivement résidents en Ile de France et en Bretagne, régatent ensemble depuis 5 ans en Flying Fifteen d’abord avec des championnats du monde à la clé, puis en duo sur un JPK 10.30 notamment au Spi Ouest et au Trophée Audi St Malo (4 courses par saison).
Bertrand a aussi navigué en Melges 24 plusieurs saisons avec des championnats d’Europe et du Monde au compteur. Il n’hésite pas à traverser la France pour s’entraîner à la Rochelle et à Hyères… sans jamais louper les courses à St Malo.
Tristan, comme lui, est un fidèle de ce port, est aussi un “ancien” du 505, peut-être le “roi des dériveurs”. Passé à la “taille au dessus” il n’hésite pas à aller défier les anglais sur des Cowes Week ou d’autres courses du RORC.
Comme beaucoup de leurs camarades inscrits à la Cap Martinique 2024, nous les retrouverons sur la Rolex Fastnet Race de 2023. Mais c’est bien, en continuité de leurs régates communes, cette transat en course, aventure à la fois humaine et solidaire qui sera au programme 2024.
Bertrand Semaille et Tristan Debry soutiennent ASA Madagascar !
Une association malgache à but humanitaire. Reconnue d’utilité publique pour venir en aide aux familles sans abri ou très défavorisées d’Antananarivo à Madagascar en vue de leur réinsertion sociale
Un projet qui marche :
- Ouvert : les bénéficiaires, volontaires, ne sont pas « ghettoïsés », mais parfaitement intégrés aux communautés voisines avec échanges permanents des savoir-faire, et accessibilité pour les paysans alentour aux installations ASA : écoles, dispensaires, église, silos, pépinière…
- Malgache, donc adapté à la culture et aux moyens du pays. Le gouvernement malgache appuie ce projet. L’Etat voit la possibilité de réinsérer des populations urbaines ou rurales totalement marginalisées, et de contribuer ainsi à l’effort de développement national. C’est ainsi que l’ASA a reçu de l’Etat 15.000 ha de terres dans le Moyen-Ouest pour y installer ses villages. L’ASA a reçu en 2010 du gouvernement malgache la reconnaissance d’Utilité Publique.
- Exigeant : demandant dès le départ de gros efforts aux familles, des contraintes d’engagement loin d’un simple assistanat.
Il s’adresse à des familles et non à des individus isolés. Il y a donc une dynamique basée sur l’avenir des enfants. C’est ce que valorise la pédagogie vigilante et constante des encadreurs. Ceux-ci s’emploient à préparer cette nouvelle vie de paysans ou artisans autonomes, autant dans les esprits que dans les corps et les apprentissages.
- Souple dans son application, avec une adaptation très pragmatique aux problèmes. Il le faut dans ce pays où tout peut arriver : cyclones, sauterelles, feux de brousse, vols de zébus…
- Il s’appuie sur tout un réseau de soutien, en France, par l’intermédiaire de 15 associations réparties sur le territoire.